Auteur Noé Gaillard

Avec, pour mon goût, une illustration de couverture assez subtile où la phrase d'accroche (citation de L'OBS) est finement découpée et intégrée. Commencez par lire l'avant-propos qui est juste avant la pag...

Je pense que j'ai assez vanté les qualités de cette collection pour éviter d'avoir à l'encenser à nouveau. Là vous savez qu'il s'agit du dernier volume d'une trilogie (voir les chroniques des deux précéden...

Une illustration de couverture appropriée et qu'il conviendrait de garder en permanence en tête au fil de la lecture. Une préface intéressante et réussie de Bernhard Echte pour vingt-cinq proses brèves à d...

Je n'aime pas trop la couverture mais son côté redondant avec le titre permet d'éviter une illustration réaliste-gnan-gnan à laquelle le titre pouvait pousser. Petit conseil : repérez les noms qui fig...

Peut-être que le charme de la jeune femme en couverture tirera l'œil d'un lecteur potentiel. C'est un premier roman et d'ordinaire on se doit d'être indulgent avec eux. Là nul besoin de se montrer gentil, ...

L'illustration de couverture peut intriguer et certains pourront la trouver éloignée du texte, l'image est curieuse pourtant elle semble au fil de la lecture bien en accord avec ce premier roman dont elle ...

Une couverture discrète où domine un gris de cendres. Et un auteur dont j'ai chroniqué ici même le premier roman paru chez le même éditeur (voir ici https://www.daily-passions.com/nous-sommes-les-chardons ...

Troisième et dernier volume de la série des Molly Southbourne dans l'incontournable collection Une heure lumière qui maintient la qualité de ses publications. Plus besoin de détergent et d'incendie, Mol...

Avec en sous-titre : Confessions passagères. Et je crois que vous avez de la chance... Si vous me suivez, vous avez déjà repéré que cette chronique porte sur un titre que j'ai déjà chroniqué et, contrairem...

Entendons-nous bien : je ne suis ni psychologue, ni psychiatre et encore moins alchimiste ; ma lecture de ce livre n'est nullement technique et assume une énorme part de subjectivité. J'ai d'abor...