Les anime en jeu vidéo ont le vent en poupe ces dernières années. C’est au tour de Captain Tsubasa,  souvent plus connu dans nos contrées sous le nom d’Olive et Tom, de se voir décliner sur PS4, PC et Switch. Non, pas de version Xbox One, du moins pour le moment. Captain Tsubasa Rise of New Champions , c’est du Fun et du Fan service à gogo. La meilleure adaptation vidéoludique de la série. C’est le jeu qu’on aurait rêvé d’avoir durant la période du Club Dorothée. En avant, il faut foncer droit au but!


L’adaptation d’un anime n’est pas toujours simple. Retranscrire toute l’intensité et l’esprit du manga tout en ayant un gameplay intéressant et plaisant est une mission périlleuse. Surtout sans dénaturer l’œuvre original. Beaucoup se sont cassés les dents. Le but ultime, c’est de se croire dans l’anime et pour ce Captain Tsubasa: Rise of New Champions, les développeurs de Tamsoft pour Bandai Namco ont réussi avec brio leur mission. L’immersion est totale. On est littéralement dedans. C’est du super boulot. L’univers est complétement respecté. Tout y est. Les personnages, Les frappes spéciale, les animations caractéristiques de l’anime, le scénario, la musique, les rebondissements durant les matches, etc.

Le jeu reprend la nouvelle édition de Captain Tsubasa durant l’adolescence du héros lorsqu’il est à l’école secondaire. C’est la version moderne, donc avec les noms japonais. Il n’y a pas d’Olivier Atton, Marc Landers ou Thomas Price. Non, Là, c’est Tsubasa Ozora, Kijiro Hyuga et Genzo Wakabayashi. Pas toujours simple à retenir quand on était habitué aux noms français. Les équipes de foot des autres écoles sont là avec leurs joueurs emblématiques ainsi que les équipes internationales. Les jumeaux terribles, le jeune prodige malade du cœur, Jiro la brute, les arrogants joueurs Américains, Allemands, Français, ainsi que les entraîneurs ou remplaçants sur le banc. Pour les connaisseurs de la série, c’est un régal de retrouver tous ses personnages parfois oubliés avec le temps.

Captain Tsubasa est un jeu vidéo de football, c’est une évidence. Mais il ne faut pas s’attendre à un FIFA ou un PES. Ce n’est pas un simulateur de foot, loin de là. C’est plus un jeu de foot 100% arcade « stratégique » qui privilégie les actions spectaculaires avec des règles assez particulières. C’est très scénarisé, même pendant les matches. Car si on se souvient bien, ça parle énormément en dehors du terrain, mais aussi pendant les matches. C’est pareil dans ce jeu. Pas facile de retranscrire cette intensité et rivalité dans un jeu. Les anciens jeux sur snes, par exemple, optaient pour une approche 100% tactique avec des choix d’action contextuels dans une liste et simulait un scénario de matche de foot avec quelques animations. C’était plutôt statique et ce n’était pas vraiment un jeu de foot. Là, Tamsoft a décidé de faire un vrai jeu de foot dynamique, à la FIFA, mais 100% arcade tout en gardant le côté spectaculaire et fun du manga. Et ils y sont arrivés et plutôt bien. Ils ont réussi à bien intégrer certaines parties du scénario durant les matches avec des cutscenes, animations et des dialogues. Ça rend vraiment le jeu unique. Comme un épisode d’Olive et Tom qui s’écrit sous nos yeux et à laquelle on participe. Pour les matches des modes aventure Tsubasa, du moins. Pour le reste, c’est plus inégal.

Pour ce qui est du gameplay, on est loin de la finesse d’un PES ou d’un FIFA. Un peu brouillon parfois pour diverses raisons, mais ça se laisse jouer. La proposition est différente et c’est déjà ça de pris. Premièrement, il n’y a pas d’arbitre, ni vraiment de règlements. On peut tacler et gicler les adversaires comme on veut. Comme dans la série. Ça fait même partie du gameplay de fracasser le porteur du ballon. C’est peut-être même le truc le plus important. Un bon coup d’épaule depuis derrière qui fait revoler et s’écraser le joueur comme un étron. Et on récupère le ballon, pas de souci. Pour les vieux de la vieille, le gameplay rappelle un peu World Cup sur NES qui permettait de gicler violement les adversaires et qui avait aussi des frappes spéciales, mais en beaucoup moins avancé.

Captain Tsubasa a un gameplay arcade un peu « stratégique » qui ne consiste pas uniquement à monter jusqu’au but, une passe, un crochet et on a marqué. Ce n’est pas aussi simple dans Captain Tsubasa, car il faut battre le goal. Il faut effectuer des dribles et évitements consécutivement qui permettent d’actionner un tir ou une passe chargée spéciales et déclencher ensuite une frappe surpuissante qui ravage tout sur son passage. Tout sauf le gardien… Oui, car il faudra épuiser le gardien pour marquer. Il arrête pratiquement tout et de n’importe où. Il a une barre d’énergie et chaque tir la réduit un peu et augmente les chances de marquer. Tout est une question de statistiques. Ensuite et seulement ensuite, on a une chance de marquer. Il faut donc accumuler les occasions de tir pour avoir une chance accrue de marquer. La barre d’énergie des joueurs permet, une fois pleine, d’activer la zone V. La Zone V donne du courage aux joueurs de l’équipe et ainsi jouer à fond. On est tous unis et il faut y croire pour remporter la victoire. Les joueurs ont un boost temporaire de vivacité. Et avec la musique de fou, nous aussi. Les passes et tirs spéciaux se chargent plus vite et sont plus puissants. Pas de fatigue à courir, la défense est plus concentrée, etc. ça donne  un vrai avantage sur le terrain.

Du coup, en deux mi-temps et 90 minutes, il n’y a pas toujours énormément de but, surtout contre un gardien comme Genzo (Tom). Enfin tout dépend du niveau de difficulté, car en facile, ça rentre assez vite et facilement. Ce système de jeu est intéressant et plutôt cool dans l’idée, car très fidèle à l’anime.

Le jeu tourne autour des individualités des joueurs qui sont super entraînés avec leurs spécialités. On a un héros ou plusieurs joueurs spéciaux, un peu meilleurs que le reste de l’équipe qui feront toute la différence sur le terrain. Pour remporter la victoire, quand on a le ballon au bout du pied, il faut les utiliser et trouver des techniques pour déjouer les héros du camp adverse. Certains héros offriront une super défense à leur équipe. D’autre formeront un groupe soudé en milieu de terrain. Ou encore des attaquants qui perceront facilement la défense et frapperont des boulets de canon dévastateurs.

Les héros permettent de marquer plus rapidement des goals que les autres joueurs. Souvent avec une seule frappe spéciale, la balle est au fond des filets. Les joueurs lambda nécessiteront souvent plusieurs coups et que le gardien soit bien fatigué pour marquer.

Il y a deux campagnes scénarisées dans le jeu. Ou plutôt deux épisodes. Un est un peu court. Il fait 6 matches très scénarisés retraçant le parcours de Tsubasa et de la New Team (Nankatsu) au championnat interscolaire japonais. Elle fait un peu office de tutoriel de base et de fan service en revivant fidèlement des événements de la série. L’autre est une campagne plus longue et complète retraçant le championnat mondial junior. Il permet de créer son propre personnage et intégrer une équipe pour l’aventure des nouveaux héros.

L’aventure épisode Tsubasa nous fait participer au championnat scolaire régional et national du Japon. Avec la New Team, ou plutôt le Nankatsu SC, on affronte les autres écoles pour remporter une 3ème fois de suite le championnat. Comme dans tout manga japonais, les enjeux prennent des proportions hyper exagérées. Les gars, ils jouent leur vie. Les adversaires sont des vraies teignes arrogantes qui useront de toutes les magouilles possibles pour dégommer Tsubasa et ses coéquipiers. Genre le mec qui fait un tacle dégueulasse qui pète pratiquement la jambe d’Ozora et qui vaudrait un carton rouge immédiat ainsi qu’une expulsion pour le reste de la saison. Mais non, le mec ne s’excuse même pas. Et une fois le match perdu, notre cher capitaine Tsubasa devient copain avec lui et tout est oublié. Le mec est même content d’avoir perdu et d’être éliminé.

Et des comme ça, il y en a tout le temps. Comme dans DBZ. Captain Tsubasa, c’est le DBZ du foot. Les mecs sont des super héros du football de 14 ans. Avec des adversaires toujours plus puissant et menaçant et qui prennent toujours de haut Tsubasa et son équipe de nazes alors qu’ils gagnent tous les matches et championnats depuis des années…  Les gars, ils ont tous les trophées, mais ce sont eux les underdogs de tous les matches.

Les techniques et les tirs sont complétement hallucinants. C’est ce qu’il y a de plus chouette dans le jeu. Quel kiff de tirer le ballon avec une frappe spectaculaire surpuissante. Tir de l’aigle, du tigre, du phénix, lame de rasoir, de la feuille morte. C’est la foire à la saucisse des attaques hokuto. Et c’est ça qu’on aime dans Captain Tsubasa. L’exagération. Dans cette aventure, on retrouve les célèbres matches et personnages qui ont fait la renommée de l’anime. Les matches avec Landers, les jumeaux, Jiro et pleins d’autres.

L’épisode Tsubasa ne sera pas facile pour beaucoup. Dépendamment de votre expérience avec ce genre de jeu et si l’IA a décidé d’être unfair. Et la difficulté n’est pas réglable pour les épisodes. Les matches paraissent parfois injustes. Certains matches sont très difficiles et frustrants à gagner. Ils suivent scrupuleusement les événements de l’anime avec les revers que la New team et Tsubasa rencontrent. Par exemple, le pire matche du jeu est seulement le 4ème matche de l’aventure Tsubasa. C’est un peu tôt quand même. Il est complétement cheaté ce matche. C’est contre les jumeaux terribles et c’est à péter un câble tellement c’est du n’importe quoi. Et donc pour ce matche, on se prend un but gratuit pratiquement d’entrée de jeu par les jumeaux en 2 cutscenes automatiques. Il n’y a rien à faire, on se le prend et c’est tout. C’est cadeau. On commence donc avec un handicape directement. Mais on se dit qu’on peut peut-être éviter le but si l’équipe adverse ne touche pas le ballon. Erreur. Même sans la balle, la cinématique se lance et bim, c’est but pour eux. Sérieux, j’en ai fait une vidéo tellement c’est cheaté. J’avais le ballon devant le but adverse, prêt à tirer. Hé bien, non. Cinématique lancée et ce sont eux qui marquent, on ne sait pas comment. Et des aberrations et tricherie s’en est gavé à en devenir fou. Le jeu te défonce littéralement si l’envie lui en prend, c’est abusé. Un tel niveau de fourberie, j’en ai rarement vu. Heureusement, il n’y a pas beaucoup de matches comme ça.

Après, il faut apprendre à jouer plus agressif et user des techniques pour frapper le porteur du ballon ainsi que les techniques de dribles pour déclencher des frappes spéciales et fatiguer le gardien. Une fois que c’est compris et maitriser, le jeu devient plus simple. Sauf si l’IA décide de te mettre 3 goals gratuit en 3 minutes, parce que pourquoi pas. Là, c’est plus compliqué de remonter. Mais si le matche est normal, avec ces techniques, ça passe crème. L’aventure est chouette. Un peu courte, quand même. Ce sont des beaux matches qui retranscrivent bien l’ambiance de l’anime. Bon, les cutscenes d’après et avant matche sont très bavardes et plutôt statique. Mais durant les matches, c’est mieux animé et les moments clés sont juste parfait. C’est spectaculaire. Et ça donne du sel aux matches.

L’épisode « Nouveaux héros » est un mode aventure plus long et complet que l’épisode Tsubasa. On commence avec un club d’une école secondaire au choix (pas Nankastu). Ensuite, on crée son propre personnage et lui assigne une position sur le terrain et des points de compétence. L’histoire nous fait participer à un petit tournoi national qui nous fait affronter Tsubasa et sa New team en final, pour ensuite partir aux Etats-Unis d’Amérique pour le championnat du monde junior. En digne représentant de l’équipe junior nippone, on retrouve toutes les stars de la série réunies avec un objectif commun: Remporter la compétition et rentrer la tête haute au pays avec la coupe.

Dans cette aventure, il faut gagner des matches et atteindre des objectifs pour gagner des points de compétence et les dépenser en technique, attaque, vitesse, défense, etc. On gagne aussi des techniques avancées au fur et à mesure pour devenir un footballeur d’exception personnalisé. Il faut aussi favoriser aussi les liens d’amitié avec les autres joueurs pour gagner en techniques et compétences. C’est assez simple et complet pour s’amuser et ne pas paraitre superficiel.

Le côté scénario de l’épisode Nouveaux héros est moins dynamique et poussé que quelques matches de l’épisode Tsubasa. Dans l’épisode Tsubasa, certains matches ont des animations dynamiques stylées donnant vraiment l’impression d’être dans l’anime. Par contre, dans Nouveaux héros, il y a moins d’événements dynamiques du genre. Les histoires sont racontées de manière beaucoup plus cheap et statiques et descriptives que démonstratives. C’est vraiment dommage.

La présentation du jeu est remarquable. Rien à dire, ils ont tout compris. Les animations, les personnages qui ont leurs signature moves, les tacles sur plusieurs mètres et les frappes de fous à la Dragon Ball qui en mettent plein la vue. Tout est over the top. Bien sûr, on est sur des graphisme en cel shading pour un rendu très fidèle à l’anime. C’est très réussi. Les personnages ont été réalisé avec soin. On reconnait chaque visage. La carrure, les comportements, tout y est. Bon, de loin, ce n’est pas super détaillé et, heureusement, il y a les noms pour reconnaitre les joueurs similaires. Les environnements sont jolis globalement. En même temps, ce sont des stades de foot et on voit très peu les gradins. Souvent on voit que le terrain vert à perte de vue.

La mise en scène est dynamique avec des animations de fou toutes les 10 secondes qui font plaisir. Pendant un moment. C’est hyper fidèle à l’anime et on voulait ça pour le jeu. Mais par contre, c’est assez déroutant car ça coupe l’action souvent en changeant le point de vue. Ça vient, ça repart, il y a des zoomes avant et arrières, le cadrage se décale et parfois on se perd un peu car le rythme est cassé. Par contre, à regarder c’est excellent.

C’est un jeu japonais et donc il est logique que les commentaires et tous les dialogues soient en japonais. Tout est heureusement sous-titrés en français. Évidemment, c’est répétitif lorsqu’on ne comprend rien. Mais on apprend quelques mots qu’utilisent les japonais pour le domaine footballistique, c’est intéressant. Ce sont souvent des mots tirés de l’anglais, c’est rigolo. En tout cas, c’est mieux qu’un doublage anglophone de mauvaise qualité comme c’est souvent le cas. L’interface est entièrement en français aussi.

Le jeu blablate beaucoup. Surtout dans les modes aventures. Il y a de longues séquences scénaristiques. Si c’est sympa d’avoir un scénario, la mise en scène est souvent statique avec des animations longues et finalement plutôt ennuyeuses. En plus, elles sont souvent coupées de fond blanc ou noir qui coupe la scène et on ne voit pas l’action. On voit les mecs qui parlent, qui courent sur un fond coloré, par fois on voit le tir ou le tacle, mais la suite… Ça rend toute la mise en scène moins intéressante.

Techniquement, il y a pas mal de choses à dire. Souvent c’est la lisibilité du jeu qui fait défaut. Elle est souvent entravée par des interventions de gens qui parlent avec une traduction écrite qui prend trop de place à l’écran. On ne voit pas les adversaires arriver.

La caméra bouge et change beaucoup trop souvent. Elle fait des zoomes et dézoomes constamment, le cadrage de l’action qui change est assez surprenant, disons. La caméra bouge tout le temps et c’est déstabilisant. Il est fréquent de ne pas savoir où on est ou même qui on est car le jeu change automatiquement de joueur et souvent pour un qui n’en pas à l’écran. Heureusement, il y a une minimap de tout le terrain à l’écran. On s’y fait, mais pour ça rend le gameplay un peu brouillon.

L’IA est pas terrible non plus. Le terrain est immense et le marquage devrait être primordial. Malheureusement, l’IA fait souvent n’importe quoi. Elle ne sait souvent pas quoi faire et pétouille surplace en gigotant. Ou elle va dans la mauvaise direction. Elle se place en défense au lieu de défendre et laisse l’adversaire monter jusqu’au but pour ensuite, peut-être, défendre, mais c’est souvent trop tard. Le gardien repousse le ballon dans sa zone, mais personne de la défense vient essayer de le défendre en reprenant le ballon. Tous les défenseurs vont se replacer au centre même si le ballon est en bas comme si c’était bon. Le ballon passe à côté d’eux et ils s’en foutent complétement. C’est rempli de réaction de l’IA complétement à côté de la plaque. Il faut vraiment tout faire soi-même. L’IA adverse aussi est étrange et surprenante. Il lui arrive de gigoter sur place quand elle nous voit arriver avec le ballon. Alors on ne sait pas comment ni quand actionner le drible et une fois sur deux, on se fait avoir.

Captain Tsubasa est une très bonne surprise. Dès les premiers trailers, on sentait que ça allait être pas mal et surtout très fidèle à l’anime. Et ça n’a pas manqué. Le jeu est l’adaptation la plus fidèle et la plus plaisante de l’anime jamais fait. Le travail de Tamsoft est remarquable. Tout y est. C’est le jeu fan service que tous les amateurs d’Olive et Tom (Captain Tsubasa) se doivent d’avoir. L’ambiance, les personnages clés, les frappes spéciales, les interactions dynamiques animées et la musique, c’est complet. Si l’emballage est irréprochable, le côté technique est un peu en deçà. Tamsoft a été malin de proposer une expérience spectacle 100% arcade très différent d’un PES ou d’un FIFA.

Ce n’est pas le meilleur jeu du monde, certes. Ni même le meilleur jeu de foot, non plus. Mais, par contre, c’est de loin le meilleur jeu Captain Tsubasa jamais fait et c’est assez pour rassembler nos espoirs. C’est super fun seul et surtout à plusieurs. Ils sont venus pour gagner et avec Tamsoft, Bandai Namco a trouvé le bon équipier pour remporter la victoire. Si vous aimé Captain Tsubasa vous serez enchanté et si vous cherchez un jeu de foot pour rigoler, arcade, fun, un peu bourrin, sans arbitre et super spectaculaire, c’est parfait aussi, foncez.

Les plus:

  • Un très bon jeu Captain Tsubasa dynamique et spectaculaire
  • Un jeu de foot 100% arcade bien fun et bourrin, surtout à plusieurs
  • L’univers de l’animé respecté
  • Du fan service à gogo
  • Revivre des moments uniques de la série dans les modes aventure
  • Les animations dynamiques en matches
  • Créer ses propres héros et sa Dream Team
  • Un bon contenu global pour s’amuser en ligne et hors ligne

Les moins:

  • Un jeu de foot un peu moyen et répétitif
  • Pas assez de matches de la qualité de présentation des jumeaux terribles
  • Beaucoup trop de blabla pas assez dynamique
  • Les mises en scène statiques et coupées
  • La caméra qui bouge tout le temps dans tous les sens
  • Le changement automatique du joueur (pas toujours à l’écran en plus)
  • L’action parfois brouillon
  • L’IA pas terrible et souvent perdue dans le feu de l’action
  • L’IA quand elle est en mode triche


Éditeur : Bandai Namco
Développeur : Tamsoft Corp.
Plateformes : PS4, Nintendo Switch & PC
Date de sortie : 28.08.2020

Genre : Foot arcade

Captain Tsubasa: Rise of New Champions
4.0Note Finale

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