Ni no Kuni 2 est un J-RPG d’action qui ravira tous les amateurs de jeux de rôle. Profitant d’une direction artistique de qualité, le titre affiche fièrement son style à la Ghibli. À la fois beau et fort bien animé, Ni no Kuni 2 propose un gameplay très porté sur l’action et une belle histoire pleine de morales et de leçons. Ni no Kuni 2 saura vous prendre par les sentiments. Ce deuxième opus est toujours une exclusivité console sur PS4 et PS4 Pro, mais il sort également sur PC.


Ni no Kuni, premier du nom, sortit en exclusivité sur PS3 en 2013 (2011 au japon). Son univers fantastique et sa patte graphique n’avaient pas laissé indifférents lors de sa sortie. Mais son gameplay et ses mécaniques de jeu avaient laissé beaucoup de joueurs perplexes. Avec Ni no Kuni 2, Level-5 et Bandai Namco veulent un titre beaucoup plus fédérateur, plus mainstream. Pari réussi, le jeu est beaucoup plus accessible pour toucher un public très large. Tout y est simplifié avec brio, de la prise en main des commandes, aux menus et aux mécaniques de gameplay. C’est un J-RPG pour tout le monde.

Ni no Kuni 2 ne nécessite pas d’avoir joué au premier pour suivre l’histoire. C’est un jeu totalement indépendant du premier. A un moment donné, on nous raconte un peu les événements du premier au travers un challenge de logique. C’est pas mal original comme façon de faire. Donc, pas de soucis pour ceux qui n’ont pas fait le premier. Aucun rattrapage n’est nécessaire.

L’histoire commence avec le président Roland, qui est sous la menace d’une bombe larguée sur une ville qui pourrait être New York. A l’impact, tout est dévasté. Mais Roland est projeté dans un autre monde. Il se retrouve, rajeuni, au royaume de Carabas avec le jeune Evan. Mauvais timing ou aubaine pour le roi Evan, Roland arrive pile-poil lors d’une tentative de coup d’état. C’est un coup de ratocrates. Menés par le vil Ratoléon, les rongeurs sont bien décidés de prendre le pouvoir en place et de tuer le nouveau roi. Mais c’était sans compter sur l’intervention et l’aide de Roland qui va permettre au roi de s’échapper mais laissant derrière lui son royaume aux mains de Ratoléon. Roland découvre un monde avec pratiquement aucune technologie moderne, mais dans lequel la magie existe réellement et fait partie intégrante du monde. Evan va devoir tout reconstruire, s’il veut un jour revenir sur le trône de Carabas. Pour cela, il devra parcourir le monde et les différents royaumes et prouver qu’il est digne d’être le nouveau roi unificateur. Il devra aussi s’allier avec d’autres peuples pour gagner en puissance et en influence, tout en repoussant les barbares et autres rebelles qu’ils lui feront face.

Le scénario est malheureusement un peu cousu de fil blanc avec des arcs scénaristiques convenus et, dans le fond, assez naïf qui plairont à un certain public amateur du genre et aux plus jeune. Heureusement, il y a des chapitres un peu humoristiques qui sont plus plaisant. C’est très Disney dans son style. Tout le monde est gentil dans le fond, on pardonne et on oublie tout en deux secondes, même s’ils ont fait les pires atrocités. Bref, bienvenue au pays des Bisounours. On explore un nouvel endroit, on introduit un nouveau personnage qui nous veut du mal, d’une manière ou d’une autre, et ainsi par la force des choses on prouve sa valeur et on devient ami pour finalement rejoindre nos rangs. C’est aussi très manichéen. En gros, ce sont les gentils chats contre les méchantes souris, au départ. Ou plutôt les mistigris contre les ratocrates. On rencontre beaucoup d’autres peuple sous les traits d’autres races animales comme les chiens de Gamblor la ville Casino et son chef le grand Manitoutou. Il y a un petit peu de Game of thrones aussi, mais sans le côté violent, rassurez-vous. Le but est de réunifier les peuples ensemble pour former un royaume uni. Le roi Evan aime à l’appeler le royaume aux millions de sourires et lui donne le nom d’Espérance. Si ce n’est pas chou. Royaume dans lequel bien sûr, vous serez le roi suprême…

Ni no Kuni 2 propose un gameplay assez conventionnel pour le genre avec un open-world à visiter dans lequel il y a des villes, des villages, des grottes, des montagnes et des mers. On se promène à pied à la manière d’un Tales of, ou d’un Final Fantasy 7 ou 8, en petit sur la carte du monde. Les ennemis à proximités peuvent nous attaquer. Il y a des coffres et autres objets à ramasser. Une fois arrivé dans une ville ou une grotte, la vue redevient normale à la troisième personne. Là, on se promène aussi, on tourne la caméra, on parle aux villageois, on fait ses emplètes et ses quêtes. Tout cela est très classique. S’il y a des ennemis, il faut évidemment les terrasser.

Les combats se déroulent toujours de la même manière. On est trois contre le reste. On forme son équipe. Certains personnages manient l’épée, d’autre la lance et d’autres le marteau et la magie. En arène fermée, sans chargement dans les grottes et autres donjons et avec un cours chargement lorsque c’est sur la map monde, le joueur incarne un des trois personnages. Il peut changer à tout moment et autant de fois qu’il le veut. Très porté sur l’action, on a presque à faire à un hack ‘n’ slash. C’est très bourrin. Après, tout dépend de ses préférences et de sa manière de jouer, mais courir et taper dans le tas est quelque chose qui fonctionne bien 90% du temps. Il y a les attaques à courtes portées, à longues portées et les attaques magiques. La magie utilise des PM (points de magie) que l’on gagne en tapant sur les ennemis. Donc, tape, tape, tape, un coup de magie dévastatrice pour nettoyer et on recommence. Alors, ce ne sont pas des combats très subtils, mais ils ont le bonheur d’être plaisant, défoulant, rapide et au final moins lassant que des combats au tour-par-tour qui n’en finissent jamais. Là, ça va vite, ça cogne et on passe à la suite. Ni no Kuni 2 a aussi les mousses. Les mousses se sont de petits personnages qui nous aide durant les combats. Dans l’arène, ils se regroupent pour former un cercle qu’il faut activer. Les mousses permettent d’avoir des bonus de vie, d’attaquer les monstres, avec des pouvoirs de feu, d’eau, de ténèbres, etc. Ils sont particulièrement utiles durant les bosses. Eux aussi sont customisables.

Alors oui, comme dans tout bon RPG, on acquiert avec le temps de nouvelles armes, de nouveaux vêtements, de nouvelles magies et on monte en niveau. Pour gérer tout cela, il faut des menus. Dans Ni no Kuni 2, les menus sont simples et pratiques. Même changer ou acheter des armes pour les différents personnages ne pose pas de problème. On sait qui à quoi avec des petits symboles, ce qui évite d’assigner une arme déjà assignée par mégarde ou d’acheter une épée inutile. Quand on achète une arme ou une armure, on sait directement les bienfaits de l’objet sur les différents personnages en un clin d’œil. Pas besoin de se souvenir de qui à quoi et combien et changer trois fois de menus pour finalement tout oublier. Là, tout est clair et sur un seul et même écran.

Ni no Kuni 2 propose aussi plusieurs types de gameplay. Si l’action et l’exploration est le gameplay principal qui couvre plus de 80% du jeu, il arrive que les circonstances amènent à changer de gameplay. L’un d’entre eux c’est les batailles. Mini-game de stratégie dans lequel il faut détruire des régiments d’armée avec ses troupes. En gros, on est au centre avec ses groupes de troupes qui nous entourent. Il faut s’approcher de l’ennemi en plaçant en avant les troupes adéquates pour être le plus efficace possible. Il y a les troupes épée, les troupes marteaux, les lances, les archers, etc. Chaque type de troupes à un avantage ou un désavantage contre un autre type de troupe. Il faut donc savoir gérer ses affrontements pour éviter de se faire laminer. Il y a aussi les bonus qui coutent des points de troupe. Bombardements, attaque éclaire, bonus de rapidité, de résistance, de force, etc. Ce n’est pas, personnellement, le mode de gameplay que j’ai préféré dans le jeu, mais c’était moins pire que ce que je pensais. Ça reste assez facile et dynamique, si on a plus ou moins le niveau nécessaire. Et il n’y en a pas énorme à faire d’obligatoire.

Une autre partie du jeu, plus importante celle-là, consiste à créer et gérer son royaume afin de le faire grandir et prospérer. Cette fois, il s’agit de gestion pure et simple…et de patience. Il faut ajouter des bâtiments, forges, magasins, institues de magie, cuisines, etc. Ensuite, il faut recruter des personnes, dans le jeu normal, pour s’en occuper de ses bâtiments, car on va y faire des recherches et des travaux. Il faut trouver et sélectionner des personnes, si possible qualifiées, pour faire les tâches plus rapidement. Le but c’est de gagner de l’argent (différent du reste du jeu) pour faire évoluer son château et atteindre les niveaux supérieurs qui débloqueront différent sorts, objets, compétences, etc. C’est donc un aspect du jeu qu’il faut essayer de ne pas négliger, car il peut rapporter des choses qui faciliteront la progression. Ce qui est dommage, c’est que l’on ne peut pas mettre les bâtiments ou l’on veut. Chaque chose à sa place et impossible d’y échapper. Un autre souci, c’est le temps que prennent les recherches et le prix des upgrades. C’est hyper long et hyper cher. Ça rappel souvent les jeux mobiles ou sur les réseaux sociaux. On dirait que c’est seulement pour rallonger la durée du jeu. Et c’est sans doute le cas. Ça, comme certaines quêtes annexes d’ailleurs qui font faire des aller-retours inutiles pour aller chercher une fleur ou tuer quatre monstres et revenir. Le jeu oblige à faire évoluer son royaume par deux fois. Une fois au chapitre 5 et une seconde fois au chapitre 9. Préparer votre mal en patience, car au chapitre 9, il faut évoluer au niveau 3 et pour y arriver il y a des conditions. Déjà pour atteindre l’évolution 2, ce n’est pas marrant si on ne s’y est pas pris un peu d’avance, mais là c’est pire. Il faut construire minimum 35 bâtiments, recruter 50 personnes et ensuite payer 100’000 PO. Pour réunir toutes ses conditions, il m’a fallu plus de 6 heures de jeu à faire des quêtes secondaires à aller chercher des objets aux quatre coins de la map, tuer des monstres sans intérêt, bref, tout ce qu’on aime. Et, sans oublier, plus de 2 heures à seulement attendre que l’argent monte dans les caisses pour faire les upgrades nécessaires pour continuer le scénario. Ce bout est vraiment pénible et d’une manière ou d’une autre vous devrez le faire aussi. Mon seul conseil c’est de diluer l’effort tout au long du jeu que ce soit moins pénible et perceptible. Sérieusement, ça aurait pu être dans le endgame pour ceux qui veulent.

Il existe des labyrinthes imaginaires dans Ni no Kuni 2. Ce sont des épreuves de force pour voir si on a le niveau nécessaire. Basé sur plusieurs étages aléatoires, il suffit de trouver la porte qui mène à l’étage supérieur. Pour cela, il faut se balader dans les couloirs. Mais il y a des monstres qui nous barre la route. Il y a aussi des coffres très intéressant dans ses labyrinthes. Il faut donc un peu fouiner à gauche à droite pour dénicher des objets utiles à l’équipe. Mais, car il y a toujours un mais. Il ne faut pas trop trainer, car une jauge de difficulté monte avec le temps. Au niveau 1, les ennemis sont normaux, au niveau 2, ça commence à se corser et au niveau 3, bonjour les dégâts. Pour palier à cette jauge, il existe les orbes rouges. Elles permettent de faire baisser le niveau de difficulté. Pour cela, il faut trouver une statue qui contre des orbes réduira la difficulté. Les orbes se trouvent dans des jarres et en éliminant des ennemis. Les orbes servent aussi à ouvrir des coffres plus importants. Il faut un peu gérer sa progression. Allez vite pour ne pas faire monter trop haut la difficulté et en même temps chercher les trésors. Au dernier étage, se trouve le boss du labyrinthe. Lui, vaut mieux le rencontrer avec une jauge au plus bas et ne pas avoir trop de différence de niveau. Ce qui est pas mal, c’est que même une fois réussi, un labyrinthe peut être refait avec de nouveaux coffres. Pour le loot c’est pas mal.

Un élément assez pénible du titre ce sont les boîtes de dialogues. Les trois-quarts des dialogues sont uniquement écrits. En jouant ça m’a rappelé les dialogues dans les professeur Layton. Ce n’est pas vraiment une surprise, c’est level-5 aux commandes, la même boîte de développement. D’ailleurs ce n’est pas le seul point commun avec les jeux professeur Layton. Les sons, le rythme d’écriture, le style d’écriture, le genre de mystère lorsqu’il y en a, avec une démonstration et une explication dans le dénouement, ça transpire Layton. Bref, revenons aux boîtes de dialogues. On se trouve donc avec énormément des textes à lire et des personnages qui ne disent qu’un seul mot, une petite phrase générique ou qui font des onomatopées. C’est dommage et lassant et par la force des choses on skip pas mal de dialogues pour accélérer le rythme, car oui beaucoup de dialogues ne sont pas très intéressants. Heureusement, d’autres partie souvent plus intéressantes et importantes sont doublées en anglais ou en japonais c’est au choix. Par contre, il faut faire attention. En anglais, les noms des personnages et des lieux ont des noms totalement différents pour la plupart. Le texte aussi n’est parfois pas le même. Ils disent quelques choses en anglais et la traduction ne colle pas. On a plutôt affaire à une adaptation qu’une traduction directe. D’un côté t’en mieux c’est mieux écrit et c’est plus cohérent. L’adaptation française est, d’ailleurs, d’excellente qualité. Il y a des jeux de mots, c’est très bien écrit, très travaillé. Il ne faut juste pas trop jongler des voix anglaises aux textes français. Ou mettre le jeu avec les voix japonaises, comme ça, on ne s’en rend pas compte.

En se qui concerne la durée de vie du titre. Il faut environ 35 heures pour le finir. Il faut savoir que sur ces 35 heures, il y a facilement plus de 8 heures de remplissage avec des quêtes annexes souvent inintéressantes. Des quêtes Fedex, comme on les appelle. De la gestion de royaume qui oblige à attendre et qui est lente. Dans l’absolu, l’histoire dure un peu plus d’une vingtaine d’heures, mais obliger le joueur à stopper sa progression pour upgrader une forge et que cela prenne plusieurs heures est inacceptable. C’est pire que d’obliger le joueur à farmer. C’est long, on perd son temps, et ça gâche le sentiment général du jeu, malheureusement. D’ailleurs, la question de la difficulté du jeu est souvent mise en cause. Le jeu est, parait-il, trop facile. Alors c’est vrai, que ce n’est pas le jeu le plus difficile du monde. Mais il ne faut pas exagérer. Ce n’est pas très difficile en général et ça passe crème 95% du temps, mais il arrive de mourir. C’est sûr que si on passe 4 heures à farmer et taper du monstre sans progresser dans le scénario, on risque d’être très vite surpuissant. On latte facilement des monstres plus élevés. Il faut dire qu’on est trois aussi. Les 5 premiers chapitres sont aussi très faciles avec une bonne technique comme taper dans le tas. Mais après ça se corse légèrement avec des ennemis qui ont des niveaux bien plus élevés. Je ne dis pas que c’est difficile, loin de là, mais avec 10 niveaux de moins, il faut commencer à faire attention. Mais bon ça reste un jeu tout public et les plus jeunes doivent en voir le bout eux aussi. C’est normal.

Vient maintenant, la partie technique et artistique. Du côté artistique, il n’y a pas grand-chose à redire. C’est très joli du début à la fin. Les artistes du studio Ghibli, ainsi que les vétérants de chez Level-5 ont fait un excellent travail. C’est de l’excellent cel-shading. Le monde de Ni no Kuni 2 est splendide, varié et immersif. On aime découvrir des nouvelles villes. Se balader dans chaque ruelle est un vrai bonheur. Par contre, le reste du monde est souvent plus générique. Surtout les grottes qui n’ont aucune personnalité. C’est souvent grand et vide. Les monstres et les personnages du jeu sont excellents. Il y a beaucoup de races et de types de différents. Souvent les personnages secondaires voire tertiaires sont reconnaissables grâce à leurs personnalités vestimentaires, physique, mais aussi à leurs caractères. On sent qu’un travail sérieux à été fait à ce niveau-là pour donner du corps et de la personnalité au titre. La musique du jeu est souvent juste et agréable. C’est mélodieux, souvent mélancolique. Il y a des musiques orchestrales fortes et puissantes et d’autres douces et calmes. Il y a de vrais beaux morceaux de musique dans Ni no Kuni 2. Mais il y a aussi des trames sonores générique qui, à force, vous tape sur le système tellement elles sont répétitives et sans âme. Techniquement, ce qui fait hyper plaisir, c’est d’avoir un jeu qui tourne à 60 images par seconde. Ça rend le jeu fluide et sensible aux commandes. C’est de la pure joie. Par contre, malheureusement, le 60fps n’est pas constant. On ressent souvent des chutes de framerate durant le gameplay. Mais peu importe, si c’est le prix à payer pour une expérience qui tourne la plupart du temps à 60. D’ailleurs, sur PS4 pro, il existe un mode 1080p (au lieu du 4K), qui offre une expérience à 60fps, sans ralentissement. Fluidité ou upgrade graphique les possesseurs de la pro devront choisir.

Que dire de plus de ce Ni no Kuni 2. C’est une belle aventure. Un conte fantaisiste qui ravira les plus jeunes. Il y a des dragons, des épées, des personnages haut en couleur, de la magie, tous les ingrédients pour un bon jeu. C’est une jolie histoire sur l’amitié, l’union, la discrimination, l’amour et le pardon. Je ne sais pas quel thème n’a pas été abordé. Le seul souci, c’est que c’est raconté pour des enfants de 8 ans. On répète et on répète encore, que le message soit bien rentré. La présentation de Ni no Kuni 2 est presque irréprochable. La patte Ghibli donne une vraie personnalité au titre. Le choix d’opter pour un jeu en 60fps est une bonne idée qui se ressent manette en main. Ni no Kuni 2 est un jeu qui se laisse jouer agréablement. Le gameplay des combats est bon. Orienté action, plutôt bourrin, Ni no Kuni 2 nous garde éveillé avec son système de combat dynamique. Car pour le reste il faut être patient. Il y a énormément de textes à lire qui ne sont pas tous pertinents. Autre grosse déception du jeu, c’est d’avoir rallongé artificiellement la durée du jeu avec le système de gestion du royaume. Cela n’apporte rien d’intéressant niveau gameplay et ça gâche le sentiment général du jeu. Mise à part ça, c’est un très bon jeu, un peu simple, mais qui se fait bien.

 

Les plus :

  • C’est très joli, très Ghibli
  • Un action J-RPG plaisant à jouer, simple, facile
  • Les menus simples, claires et rapides
  • Les voix japonaises
  • Les combats très dynamiques et plaisants
  • Certaines musiques mélancoliques magistrales
  • Différents types de gameplay
  • La ville de Gamblor
  • Les poules aux dettes

 

Les moins :

  • Beaucoup de remplissage inutile et ennuyeux
  • Histoire beaucoup trop naïve et prévisible
  • Aucun personnage mémorable mise à part Roland et Evan
  • Beaucoup de mauvaises quêtes annexes
  • Le chapitre 9 !!!
  • La partie gestion du royaume, lente et lassante
  • Beaucoup de bla-bla long et inutile
  • Pas entièrement doubler avec les voix
  • Certaines musiques orchestrales soulantes
  • Les recrutements longs et fastidieux

 


Editeur : Bandai Namco
Développeur : Level- 5 inc.
Plateformes : PS4 & PC
Date de sortie : 23.03.2018

Genre : Action RPG

Ni no Kuni 2
4.0Note Finale

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