Illustration de couverture bien faible et peu lisible et c’est regrettable car le livre devrait vous tenir en haleine pendant un temps de vacances. C’est en quatrième de couverture avec les références aux rouages de l’horlogerie que vous mesurez ce que je viens d’écrire.

Pour rester dans l’idée d’horlogerie et si vous avez ouvert une fois le dos de ces grosses montres – oignons – que l’on portait sur le ventre ou le côté dans une poche gousset, vous avez dû constater d’abord la minutie des détails et ensuite la précision des mouvements et enfin ne pas savoir quel mouvement commande les autres. Je vais donc oser dire que nous sommes dans le même cas avec ce roman qui commence ou presque par la mise en accusation de Tanja Stojkaj – ancienne inspectrice de la police judiciaire fédérale… On lui reproche a minima d’avoir brisé les scellés posés sur la porte de l’appartement de sa mère que l’on a retrouvé vide de ses occupants – sa mère et le fils « secret » de Tanja – et souillé de sang. Je ne vous en dirais pas plus sauf que sont concernés quatre hommes dont le père de l’enfant – qui ne sait rien de cette paternité. Et là je me permettrai de regretter le titre de ce roman en le trouvant trop explicite. Mais qu’importe puisque vous aurez le plaisir de lire ce qui se produit lorsque l’on tire sur un fil d’une pelote plus ou moins embrouillée : soit le nœud se resserre soit le nœud se défait…

Une bonne lecture qui aidera vos neurones à ne pas prendre un trop long repos.

L’engrenage du mal
Auteur : Nicolas Feuz
Editeur : Slatkine & Cie

www.slatkineetcompagnie.com

L'engrenage du mal
4.0Note Finale

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