Attention ! Ce livre comporte 521 pages dont deux de bibliographie… et le bandeau qui porte l’illustration de couverture montre une femme peu souriante mais bien décorée… Le court texte de présentation au verso du bandeau présente ce roman comme un « roman-vrai » (y aurait-il des « romans-faux » ?) sans préciser ce que signifie l’expression. A l’intérieur et sous le titre on peut lire « Roman noir » et en quatrième de couverture après une brève présentation – où l’on remarquera une fort belle faute d’orthographe* – on peut lire les noms de quelques stars hollywoodiennes qui participent au casting. 

L’armée américaine a décidé d’investir dans le cinéma pour tenter de développer les idées du public, nous sommes en plein maccarthysme. Une branche de la Mafia décide de s’y investir aussi, pendant qu’une autre s’y refuse. Le Père Starace de l’église catholique promet d’aider l’armée et le Major Buckman en échange d’un passeport US pour son amant. Et c’est ainsi que le producteur raté Larkin Moffat se retrouve en possession de deux millions de dollars en liquide. Larkin n’aime pas les banques et garde l’argent chez lui. La petite amie de Larkin, Didi est attirée par une jeune femme, Liz, petite amie d’un mafieux. Mais Moffat est fou et il défigure Liz. C’est Hedi Lamar qui aide Didi et Liz à se retrouver. Vous en dire plus nuirait à votre plaisir de découverte des mœurs d’Hollywood. Sachez simplement que ce roman est vraiment noir, en toute logique il n’épargne pas grand monde…

Bonne lecture.

* cherchez la faute : « Abonné aux tournages de séries B, il fait vivoter les crève-la-faim du cinéma et enrage contre ce système qui l’exclue. »

Cherchez l’erreur : « … sa main se faufile sous ses c…. avec la dextérité d’un serpent. »

Avant les diamants
Auteur : Dominique Maisons
Editeur : La Martinière

www.editionsdelamartiniere.fr

Avant les diamants
3.5Note Finale

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