Je me permettrai de souligner la force et l’intensité du titre de ce recueil de nouvelles choisies et présentées par Jean-Pierre Andrevon. Nul ne peut en nier l’évidence. Vous avez apprécié l’illustration ...
Il s’agit bien sûr d’une enquête de l’Aliéniste, la troisième… (j’ai chroniqué la première La chambre mortuaire, même éditeur, ici même https://www.daily-passions.com/les-enquetes-de-lalieniste-tome-1-la-c...
Comme je suis un vieil inconditionnel du prix Nobel, je vous dirai que j’aime beaucoup l’illustration de couverture qui, si je ne m’abuse, ‘dessine’ une vieille photo du poète-musicien. J’en entends qui grognent et maugréent à coup de ‘encore’ et ‘yenamar...
C’est la huitième des folles enquêtes de Magritte et Georgette et l’illustration de couverture vous précise l’intérêt de Cadaquès (petite ville espagnole, au cas où vous ne le sauriez pas). C’était le lieu...
Bien conçue, aussi bien pour les enfants que pour les adultes, cette création haute en couleurs, transporte le lecteur dans un univers exceptionnel. Savez-vous que les insectes ont des sentiments, et qu’un par...
Sous titré : Trilogie d’Helsinki, sous-entendu : dernier volume. Si vous avez lu les deux premiers, vous n’avez pas besoin de suivre mon conseil : plongez dans ce livre sans vous préoccuper de l’autrice. Lisez simplement et lorsque vous vou...
Je me permettrai de trouver l’illustration de couverture réussie en soi, mais très éloignée du contenu et un peu exagérée par rapport à lui. Et surtout j’ai vainement cherché le rapport entre l’histoire ra...
Avec un sous-titre : L’héritage mystérieux et deux volumes de plus de 300 pages chacun. Il y a déjà un certain temps que ces deux livres sont parus et si je vous en parle aujourd’hui c’est que v...
L’illustration de la jaquette reprend celle de la couverture américaine sans le titre original : Chain-gang All-Stars qui me semble beaucoup plus parlant que ce long titre français.
Nous sommes dans un futur très proche et très peu différent de no...
Il s’agit de la traduction d’un discours prononcé en 1963 par Joséphine Baker, suivi de sa version originale en anglais et d’un dialogue entre Pap Ndiaye et Jean-Claude Bouillon-Baker. Et disons-le tout de...