Avec en surtitre au titre le nom de la série : Wild Cards VII. Et si vous lisez les six titres qui précèdent vous constaterez qu’ils ont conservé leur version anglaise d’origine. Pourquoi pas ? Petit rappel : Wild Cards est « un univers post-apocalyptique peuplé de super-héros, partagé et nourri par de nombreux auteurs depuis près de trente ans. » Pour ce volume, le co-auteur est John J. Miller et ce n’est pas sa seule incursion dans la série.
Un petit mot sur le titre : les amateurs de bridge pourraient penser qu’il s’agit de la main de celui qui fait le mort et dont on étale le jeu sur le tapis, non il s’agit d’une référence à la main d’un mort « célèbre » : Wild Bill Hickok peut-être plus connu sous le nom de Buffalo Bill. Mort au cours d’une partie de poker avec en main une paire d’as et une paire de huit noirs : la main du mort.
Si vous avez observé un temps la couverture vous avez vu « l’archer » et vous avez tout de suite pensé à des séries de bande dessinée qui ont enflammé votre jeunesse ou votre adolescence avant d’en être réduites à des versions cinéma. J’ai pour ma part remonté dans le temps jusqu’à une autre série BD d’un certain Chester Gould, Dick Tracy, et je suis vite reparti au cinéma pour la splendide version que Warren Beatty a réalisé à partir de cette BD. Voilà, vous avez l’essentiel, vous pouvez ajouter la dose de thriller nécessaire à la prestation d’un détective privé et vous êtes dans l’enquête menée par Jay Ackroyd l’ace détective privé qui a découvert le corps de la victime – Chrysalide, assassinée dans son restaurant – et Daniel Brennan – l’Archer qui s’était retiré des affaires -, que la police considère comme le meurtrier de Chrysalide parce qu’un as de pique était sous le corps. Ah, j’oubliais, l’action se déroule entre le 18 et le 25 juillet 1988.
Bonne lecture.
Wild Cards VII, Dead man’s hand
Présenté par George R.R. Martin
Editeur : J’ai Lu
Collection : Nouveaux Millénaires
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