Nouveau Donkey, nouveau design, nouveau gameplay, nouveau studio, mais toujours aussi fun. Full 3D, destruction totale, exploration, transformation et émotion, DK Bananza sur Switch 2 est une excellente surprise qui tranche clairement avec la série Country et qui s’approche plus d’un Super Mario Odyssey en mode destruction. Donkey Kong Bananza, le nouveau jeu qui détruit tout sur son passage ?
La Nintendo Switch 2 vient de sortir et il faut l’alimenter, il faut du lourd avec des jeux bangers exclusifs à Nintendo. On a déjà Mario Kart World et quelque part les remasters de Zelda Breath of the Wild et Tears of the Kingdom. On aurait pu s’attendre à un nouveau Mario, mais non pour ça il faudra attendre. Nintendo mise sur Donkey Kong qui est à l’honneur cet été.
Il est vrai que l’on attendait un jeu nouveau jeu Donkey Kong depuis longtemps. On a eu dernièrement le remastered HD de Donkey Kong Country Returns sur Switch, mais un vrai nouveau jeu original, ça date. Et plus encore un nouveau jeu Donkey Kong en 3D. Le dernier était Donkey Kong 64 il y a plus de 25 ans, c’est dire. C’est l’équipe derrière l’excellent Super Mario Odyssey qui s’est chargé de développer ce Bananza. Full 3D, Bananza est une aventure unique qui partage beaucoup plus avec Odyssey qu’avec les jeux de la série Country en 2D.
Donkey Kong Bananza est un jeu d’action 3D avec de la plateforme. Si les Donkey Kong Country ont l’accent sur le gameplay plateforming, 2D, avec des jeux calibrés et parfois exigeants, Bananza est plus basé sur la destruction, évidement, mais surtout l’exploration et la collectionite de banane plutôt que la plateforme. En effet, si le jeu est un peu présenté comme un plateformer 3D, un peu comme Odyssey, la réalité est que le focus est plutôt mis sur la destruction du terrain et la découverte de trésors enfouis. Pas besoin d’avoir beaucoup de skills ou de reflexes dans Bananza. Ce n’est ni mieux, ni moins bien, c’est juste totalement différent. Il faut le savoir.
L’expérience de Bananza est aussi beaucoup accessible. Le focus c’est le fun et le défoulement constant. Il n’y a pas une minute sans que l’on tombe sur quelque chose, un trésor, une banane, un fossile, un bonus stage. Il y a toujours un truc. C’est sans arrêt. Pas de temps mort. Les jeunes adoreront. On fracasse tout et on est récompensé.
D’ailleurs Donkey Kong Bananza veut attirer un public jeune et a mis beaucoup d’effort pour le faire. Déjà Donkey. Il a un nouveau design. C’est le perso qui a eu le plus de détails. Normal c’est le perso principal. Il a une nouvelle fourrure plus proéminente qui bizarrement fait plus pelage de plume. Il a été modifié pour être plus expressif et plus rigolo. Et c’est très réussi à ce niveau-là. Il a des courbes plus arrondies avec un regard plus doux et naïf qui le rend plus sympathique. Un peu ce qu’ils avaient déjà entamé dans le film Super Mario bros. Il ressemble de plus en plus au design original des vieux jeu Donkey Kong aussi. C’est un mixe entre les deux. Alors après on aime ou on n’aime pas. Car si le nouveau design est plus rigolo et sympathique, certes, il perd aussi un peu en charisme. DK c’était le gorille alpha qui pète la classe. Un héros de jeu-vidéo puissant qui rigolo zèrzère et qui impose le respect. Maintenant, il l’est un peu moins malheureusement. Il est rigolo et un peu bouffon. Il a gagné en capital sympathie avec Pauline sa nouvelle coéquipière.
Pauline est la deuxième héroïne du jeu. Elle fait équipe avec DK tout au long de l’aventure. Alors Pauline on la connait déjà. C’est la demoiselle en détresse dans le premier Donkey Kong. Mario devait aller la sauver des griffes de DK sur des échafaudages roses dans les années 80. Puis on l’a revue dans Odyssey en tant que maire de New Donk City. On se souvient d’elle pour son moment emblématique du jeu où elle chante le titre “Jump Up, Super Star!” pendant que Mario traverse un niveau rétro. Dans Bananza, Pauline n’a seulement que 13 ans. Elle est espiègle et adore chanter. Malheureusement, il est aussi très timide et n’ose pas chanter devant les autres. Elle devra vaincre ses peurs. C’est aussi le seul personnage qui est doublé en français. Les autres parlent dans une langue incompréhensible un peu comme les mignons. Ce qui assez remarquable et subtile dans le jeu c’est que Nintendo fait évoluer la relation d’amitié entre Pauline et DK. On le sent et on le voit au début du jeu que Pauline manque de confiance en elle et en DK. Mais avec le temps, elle prend de l’assurance et se laisse aller.
Pauline aime chanter. Sa voix puissante est au cœur de l’aventure. En chantant, Pauline peut ouvrir des passages, attaquer des ennemis ou le terrain (en mode 2 joueurs), et transformer DK avec les pouvoir de Bananza. Pauline est une bonne partenaire à DK, comme l’était cappy dans Odyssey. Quand je vous dis que les deux jeu se ressemble.
Revenons un peu sur la présentation du jeu et son histoire. Bananza et les jeux Nintendo font de plus en plus cinématographiques à la Disney et Pixar avec des personnages très expressifs et soignés, une histoire touchante avec de l’émotion et surtout des musiques marquantes très rythmées et puissantes à la Reine des neiges. Les chansons de Pauline reste dans la tête.
Dans Bananza, notre cher ami Donkey est un expert mineur spécialisé dans la destruction à main nue. Il creuse des galeries dans la roche à la recherche d’or et de bananium. Tout commence lors d’une nuit où DK tombe sur un mystérieux caillou tombé du ciel. Le caillou est animé et semble doté d’une âme. Les deux décident de faire équipe pour récupérer les bananes géantes de bananium. Mais un cataclysme provoqué par la Void Company les propulse dans les entrailles de la planète. Le mystérieux caillou un peu timide prend gentiment conscience que sa voix à un certain pouvoir magique sur le monde qui les entoure. Et grâce à cette voix chantante, la coquille du caillou éclate et libère Pauline qui en était prisonnière. Pauline à 13 ans dans le jeu. Toujours un peu méfiante, elle commence à faire équipe avec DK. Ils vont s’entraider à braver les obstacles qui se mettent au travers de leur chemin afin d’atteindre le centre de la planète et déjouer les plans de la mystérieuse Void Company.
L’aventure va faire découvrir les nombreuses et différentes strates de la planète. DK et Pauline vont s’engouffrer petit à petit dans les profondeurs de la planète. Il y a 17 strates dans le jeu, dont certaines sont divisées en plusieurs sous strates. Chaque strate est l’équivalent d’un monde comme dans Super Mario Odyssey. On retrouve tous les thèmes classiques dont on a l’habitude comme la neige, le désert, la forêt, mais aussi des biomes un peu plus fantaisistes et surprenants, etc. Toutes les strates ne se valent pas. Certaines sont très grandes et intéressantes avec beaucoup de mécaniques différentes et un level design travaillé et ingénieux, d’autres moins. La deuxième strate, le lagon, est clairement un clin d’œil à Tears of the Kingdom, par exemple.
Cependant, si la diversité des biomes est bien présente, il est parfois difficile de faire le lien avec la série des Donkey Kong Country. Environnements, styles, musiques, palette de couleurs, etc., il n’y a plus rien. C’est très, mais alors très différent et on s’approche plus de l’univers de Mario Odyssey. Logique somme-toute, ce sont les mêmes devs. Cela étant dit, Bananza a bien pensé aux joueurs avec du fans services qui fait mouche pour les anciens fans de Country. Il y a des petits stages bonus recréant des niveaux mythiques. Alors ils ne sont pas nombreux ni recréer à 100%, le gameplay d’antan n’y est pas non plus, mais l’esprit est là. Le meilleur c’est qu’ils ont ressamplé les 16-bits tunes pour toucher la corde sensible. Une petite madeleine de Proust qui fait zizir.
La direction artistique de Donkey Kong Bananza ne laisse pas non plus indifférente. Les personnages principaux sont très réussis globalement. Les nouveaux designs de DK et Pauline sont bien. Ils sont très bien animés et très expressifs. Les persos secondaires comme les doyens sont bien faits. Par contre les ennemis et les persos en cristaux bleus sont très période Rare 64. Mais ça va. Ce qui est plus étrange c’est la direction artistique des niveaux. A priori et vu de l’extérieur, la DA est criarde avec des choix de couleurs étranges souvent dépareillées. Il n’y a rien qui va. C’est presque de mauvais gout. C’est l’impression que j’ai eu en regardant des streams et autres vidéos. Et pourtant, manette en main, le jeu prend forme et ça en deviendrait presque joli.
Après c’est n’est pas une claque graphique non plus. C’est très old-school, très jeu-vidéo. On n’a pas l’impression d’être dans des mondes immersifs, mais plus dans un bac à sable modelé, brut, très plateforme, vraiment pensé pour le gameplay. Quelque part c’est très arcade. Ce n’est pas déplaisant, mais dans les Country on avait plus l’impression d’être dans un monde systémique relié presque crédible. Dans Bananza, pas vraiment. La Switch 2 offre un confort visuel sympathique qui est bien supérieur à la Switch première du nom. Mais ça s’arrête là. C’est pas mal, mais on sent un peu le projet porté sur Switch 2. Et du moins on l’espère et que la Switch 2 sera capable de faire encore mieux. Pour ce qui est de la fluidité, on peut lire à gauche à droite qu’il n’y a pas un ralentissement dans le jeu, c’est faux. Dès qu’il y a beaucoup de particules de pépite d’or le frame chutent. Rien de grave, mais c’est présent. Et on le remarque surtout à la fin lors d’un des derniers boss où il se passe beaucoup de chose. Sinon ça tourne tip top 95% du temps.
La plus grande qualité de ce Donkey Kong Bananza, c’est son gameplay. C’est le plus important. Est-ce qu’on s’amuse dans Bananza ? Et la réponse est simple : Oui ! Basé sur un système de voxels (des pixels volumétriques en 3D), le jeu permet de pratiquement tout casser. DK peut détruire tout sur son passage et créer ses propres routes. Pour aller d’un point A à un point B, il n’est pas toujours utile de chercher le bon chemin que les devs ont prévu. Il suffit de tout casser et se frayer un chemin. On voit une banane dans la pierre. On fracasse. On doit aller en dessous du sol. On fracasse. Traverser une montagne. On fracasse. Et donc on passe son temps à terra former les niveaux en gruyère avec des galeries partout. DK est hyper mobile. Il n’est pas lourd et lent. Il peut grimper et escalader pratiquement toutes les plateformes avec aisance. Il peut aussi prendre des rocher et les balancer ainsi que s’accrocher aux grillages suspendus. D’ailleurs la partie la moins plaisante du jeu car la caméra est mal gérée lorsque DK est suspendu. On peut encore faire la roulade et sauter après. DK est un régal à contrôler. Alors, évidemment, il y a des restrictions avec des matières infranchissables pour garder un level design intéressant avec des passages obligés. Mais sinon, on fracasse et on ne s’en lasse pas puisqu’il y a toujours quelque-chose à trouver.
Et grâce au sonar, on peut détecter les objets d’intérêt dans les niveaux. Sans sonar, il serait souvent compliqué de trouver une grotte secrète dans l’immensité des maps. Mais le sonar peut avoir un revers à la médaille. S’il est super pratique et indispensable, on peut facilement tomber dans l’excès de son utilisation et le spammer tout le temps afin trouver les bananes et les fossiles à en perdre l’objectif du jeu. Cependant, afin de monter vite dans les compétences de DK, il est préférable d’upgrader le sonar le plus vite possible afin d’augmenter sa portée.
Oui, Donkey Kong Bananza a un système de compétences style light rpg si on peut dire. Toutes les 5 bananes récupérées, DK gagne un point de compétence qu’il peut dépenser dans différentes catégories. Il y a la vie en ajoutant des cœurs, la puissance des poings pour détruire les matières plus dures plus facilement, mais aussi la portée du sonar, la récupération la longévité des transformations, des aptitudes spéciales comme le saut, le surf, etc. Avec le temps on débloque des transformations Bananza qui peuvent aussi être upgradés.
Les transformations dans Bananza sont la grande nouveauté du jeu. Dans Country on avait des animaux pour venir en aide à DK comme Rambi le rhino, Enguarde, Winky, Squawks, etc. Là, c’est DK qui se transforme directement en octroyant des pouvoirs puissants. On récupère les 5 transfo en parlant aux doyens DJ. Chacun d’eux à perdu leur vinyle brisé en plusieurs morceaux qu’il faudra retrouver et ramener. Une fois réunis, Pauline après une chanson Bananza qui va temporairement changer DK. Il y a Kong Bananza, un singe géant sur-puissant, Zebra Bananza, un zèbre qui cours très vite, puis il y a le serpent qui saute très haut, l’autruche qui vole et l’éléphant qui aspire tout. Chacune de ses transformations à son utilité, mais certains plus que d’autres comme Kong et l’éléphant, et l’autruche dans une certaine mesure. Mais l’éléphant il est over cheaté. C’est pour ça que c’est le dernier qu’on récupère. Bref c’est assez cool à utiliser, et avec la musique ça donne la pèche.
Puisqu’on compare souvent le jeu à Odyssey, on va parler des bosses. Et ils sont bien mieux et mieux élaborés. On sent que les devs on fait des efforts. Les boss on souvent plusieurs phases. Ils rappellent un peu les boss de Splatoon. Bon, souvent niveau strats, ça ne casse pas des briques. Il suffit 9 fois sur 10 du se mettre en Kong Bananza et bourriner à fond. Mais pas que, heureusement. Par contre, il faut prévenir, si le jeu est vraiment facile globalement, la toute fin, qui est la meilleure partie du jeu, est deux crans plus difficiles et ça surprend. Le boss de la toute fin comparée au reste du jeu c’est une dinguerie. Ce n’est pas Dark Souls, mais comparé au reste du jeu ce n’est pas une promenade de santé. Mais c’est ça aussi qui est plaisant, un peu de challenge.
Comme dans Odyssey, On peut changer et customiser DK et Pauline. Fourrures, habits, cravates et tenues pour Pauline, il y a beaucoup d’option. Mais ce n’est pas uniquement cosmétique. Certains habits ou accessoires sont accompagnés de bonus comme plus de résistances, consommation réduite ou recharge accéléré de bananza, détection étendue du sonar, etc. Il faut des fossiles pour se les payer et donc bien fouiller les maps de fond en comble. Chaque strate à ses propres fossiles et ses propres habits et accessoires. Encore une fois le jeu pousse à explorer.
Le mode deux joueurs du jeu permet d’accompagner DK en support, un peu comme cappy. Le second joueur utilise la voix de Pauline pour terasser les ennemis et creuser des galeries. Hyper pratique pour rendre le jeu encore plus facile, car la voix de Pauline est surpuissante. Il est interessant de savoir que l’on peut jouer à deux sans avoir deux Switch 2. Déjà avec les joy-cons ou le pro controller, mais aussi avec une deuxième Switch 2 ou une Switch 1. Oui, oui, en streaming local on peut jouer à deux à Donkey Kong Bananza. C’est pratique. Par contre pas de coop en ligne, que du local.
Donkey Kong Bananza est expérience assez unique parfois difficile à décrire car c’est le ressenti manette en main qui fait la différence. La maniabilité de DK est tout bonnement remarquable. Il court grimpe et frappe avec une aisance admirable. Le plaisir de tout détruire ne tarit pas. La liberté de pouvoir aller partout en se frayant son propre chemin et découvrir des gems cachées tout le temps procure une satisfaction continue très addictive manette en main. Le level design très jeu-vidéo des années 2000 en zones de plateformes arrive à garder le joueur captivé par l’exploration. On perd parfois l’objectif de vue tellement la liberté de créer sa propre voie prend le dessus. Il peut arriver de passer à côté de mécaniques prévues par les devs parce qu’on a pris un chemin différent. Mais c’est aussi ça la force du jeu. Techniquement Bananza n’est pas révolutionnaire ni même impressionnant, mais il a le mérite très bien fonctionner, mise à part de quelques chutes de frame rate occasionnelles. La DA des niveaux est souvent étrange, grossière avec des choix audacieux qui n’ont rien avoir avec ce que l’on a l’habitude d’avoir dans les Donkey Kong Country. Et en même temps ce n’est pas un Country, c’est normal que ce soit différent. Mais une fois plongé dans l’univers, la formule opère et fonctionne. Il faut noter que la dernière partie du jeu est la meilleure. On aurait aimé que le jeu en propose plus de la sorte. Et le grand et long final est juste fantastique. Les innombrables stages bonus variés enrichissent l’expérience avec des challenges ingénieux et satisfaisants. Les transformations apportent un peu de variétés et de nouveautés bienvenues. Parfois sous-exploitées, mais rafraichissantes. On peut aussi ajouter que la musique du jeu est aussi très bonne avec des rythmes entrainants très jeunes qui reste dans la tête. Le duo DK et Pauline fonctionne parfaitement. Les deux font la paire. DK c’est les muscles et Pauline l’âme du jeu.
Donkey Kong Bananza n’est pas le jeu parfait. Sa direction artistique très loin de l’univers de base peut laisser perplexe, même si une fois dedans ça fonctionne très bien. La proposition de Nintendo a de quoi surprendre. Plus basé sur l’exploration et la destruction que la plateforme, Bananza a trouvé une formule qui marche pour ce type de jeu en 3D. La formule DK64 devait être changé et c’est chose faite. C’était vieillot et vite lassant. Ce n’est plus le cas avec Bananza. Le gameplay est juste excellent et on ne s’embête pas 2 minutes dans le jeu. C’est simple, défoulant et on est récompensé continuellement. Il y a toujours un truc caché à aller chercher et à découvrir. Donkey Kong Bananza est une aventure longue, environ 20-25 heures en prenant son temps à bien fouiner partout et faire les stages bonus, remplie de surprises. Il est aussi possible de tracer et faire le jeu en ligne droite en une dizaine d’heures, mais ce serait passer à côté des merveilles dont regorge le jeu. Bananza est truffé de références à l’univers DK qui fait plaisir aux fans. Que ce soit les stages bonus rétro, les musiques remixés, les personnages caméo, ou costumes, les devs ont fait du très bon boulot. Gros travail sur les animations vraiment bien réalisées si on prend le temps d’y faire attention. Il y a des détails vraiment bien pensés. Le scénario et la relation entre DK et Pauline sont aussi des points forts du jeu. Les musiques incroyables, très cinématographiques, de Pauline portent le jeu en lui donnant une âme touchante et marquante. Le jeu est très accessible ce qui plaira au plus grand nombre. Donkey Kong Bananza est un jeu hyper fun qui pourrait en émouvoir plus d’un.
Les plus :
- Un gameplay hyper satisfaisant et défoulant
- Tout détruire
- Une nouvelles formules 3D qui marche
- Toujours récompensé continuellement
- Beaucoup de bonnes idées de level design
- La relation entre DK en Pauline
- Les chansons de Pauline rythmées
- Les animations travaillées
- Une histoire plus riche et émouvante
- Un climax final surprenant et incroyable
- Énormément de stages bonus
- Les bonus stages rétros
- Tous les easter eggs fan-service
- Les transformations sympathiques
- Un mode 2 joueurs pratique et un peu moins gadget
Les moins :
- Une direction artistique assez éloignée des jeux Country
- Quelques niveaux moins longs et élaborés que d’autres
- Quelques ralentissements rares mais présent
- La caméra parfois capricieuse dans les environnements multi-couches
- Le mode coop en ligne absent (uniquement local)
Éditeur : Nintendo
Développeur : Nintendo
Plateforme : Nintendo Switch
Genre : Action / Aventure
Date de sortie 17.07.2025
Laisser un commentaire