Leona, La fin justifie les moyens

Leona Lindberg, qui est parvenue à faire endosser par son supérieur la responsabilité des crimes qu’elle a commis, est toujours en butte à son maître chanteur. Comme elle est inspectrice et très douée pour les interrogatoires, elle joue double jeu et comme l’indique la quatrième de couverture : enquêtrice le jour, braqueuse la nuit.

Nous avons droit, à propos de la préparation de son prochain coup, à quelques leçons de comportement dont quelques voyous pourraient prendre de la graine.

N’oublions pas, Leona est divorcée suite à la mort de son fils mais elle a une fille, Béatrice, en garde partagée. Celui qui la fait chanter s’appelle Armand. Et cette fois, considérant qu’elle tarde à payer ses dettes, il menace de s’en prendre à Béatrice. Il a été recommandé à Leona un suivi psychologique… Et elle peut lire que la psy qui la suit la juge « psychopathe ».

Un individu qui a tenté de faire sauter le Parlement et se retrouve à l’hôpital privé de ses jambes ne veut répondre qu’à elle. Nous avons donc trois histoires en parallèle. L’enquête autour du terroriste, la préparation du coup par Leona et sa bande et la menace d’Armand. Comme il se doit il faut un grain de sable dans la machine. On le trouvera en la personne d’un indicateur de police. Leona de son côté, après avoir plus ou moins évité le pire à propos d’un attentat, se retrouvera kidnappée par Armand. Mais devra son salut à un des membres de sa bande… Et, bien sûr, pour que nous puissions avoir droit à – au moins – un troisième épisode : Armand a pu lui aussi s’échapper…

C’est dense et vous ne pouvez absolument pas sauter une page sous peine de devoir revenir en arrière pour comprendre…

Bonne lecture.

Leona, La fin justifie les moyens
Auteure : Jenny Rogneby
Editeur : Presses de la cité
Collection : Sang d’encre

www.pressesdelacite.com

Leona, La fin justifie les moyens
4.0Note Finale

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