Teddy Lyons est un harceleur. Il n’accepte pas la rupture et devient violent.
Windsor Horne Lockwood III, plus communément appelé Win, a décidé de rendre justice à sa manière. Il va donc lui asséner une correction magistrale qui ne le laissera pas indemne. Mais Win devra craindre la vengeance de ses frères, ce qui ne sera pas une mince affaire.
Lorsque Ry Strauss, un vieux bonhomme, est découvert mort dans son appartement, le FBI entre en contact avec Win car un tableau de Vermeer est accroché au mur et celui-ci avait été dérobé à la famille de Win des années auparavant.
Ry Strauss a été assassiné et le FBI ne tarde pas à le relier à cette bande de jeunes terroristes qui, dans les années septante, avait voulu faire exploser un bâtiment vide mais dont les victimes furent les passagers d’un bus dont le conducteur, surpris par la déflagration, a perdu la maîtrise de son véhicule.
Win est personnellement touché par ce meurtre car il ne relie pas seulement Ry Strauss au vol d’un tableau de prix, mais également à l’enlèvement de sa cousine Patricia qui a été séquestrée et violée pendant des mois avant de pouvoir s’échapper.
Win a donc décidé, par tous les moyens, et Dieu sait s’il en a, de faire toute la lumière sur cette affaire.
Ils étaient six, l’un d’eux vient d’être retrouvé mort chez lui, mais les cinq autres ?
Win va remonter le fil de l’histoire et reprendre contact avec les témoins et la famille des terroristes encore en vie. Mais il n’est pas le seul à vouloir découvrir la vérité ou à vouloir se venger.
Le seul reproche que l’on peut faire à ce roman, c’est qu’il est beaucoup trop vite lu. On attend chacun des romans de Harlen Coben avec tellement d’impatience et quand, enfin, on le tient dans les mains, on ne peut plus le lâcher avant de l’avoir terminé.
Seul Myron Bolitar nous a manqué, mais Win n’a jamais manqué d’en parler et de nous rappeler son souvenir. On espère qu’il sera présent dans le prochain roman.
Gagner n’est pas jouer
Auteur : Harlan Coben
Editeur : Belfond
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