Auteur Noé Gaillard

On me permettra - après lecture - de trouver l'illustration de couverture bien triste et peu incitatrice. C'est dommage car ce roman est à mon humble avis une petite réussite. Imaginez une arche stellai...

Regardez la couverture attentivement, elle vous en dit beaucoup. Et, rassurez-vous, la référence à la chanson que vous venez de chantonner en lisant le titre est bien là et notée. Sarah et Marc ne sont ...

Et toujours le genre de couverture un peu triste et redondante où même le nom de l'auteure (par sa couleur et le corps des caractères) est moyennement lisible. Vous noterez les indices présentés en vitrine...

On ne présente plus une équipe qui gagne et cela d'autant plus si cette équipe est parvenue à faire en sorte que l'on ne s'occupe que de ce qu'elle montre. Je veux dire par là que, comme en couverture les ...

Avec pour sous-titre Meurtre et mémoire en Irlande du Nord. Vous noterez la finesse du trait vert qui barre le titre et vous souviendrez que le vert est la couleur de l'Irlande. Vu le nombre d'Irlandais qu...

En couverture : Droits réservés à l'association Ela pour le soutien des enfants malades et en quatrième de couverture : Droits réservés à l'association Ela pour accompagner et soutenir les enfant...

Ce volume s'inscrit dans la série « Un autre regard » et porte en sous-titre et autres illusions à dissiper ensemble. Plutôt que de le ranger dans une catégorie BD, je le classerai dans la catégo...

Le même jaune tire œil que pour L'invitation à la valse, mêmes auteure, éditeur, et dessous en rouge des jeunes femmes occupées à de la couture. Et je vous l'avoue tout de suite, j'ai préféré ce second vol...

Avec un sous-titre Être avec les autres en restant soi-même et une préface de Guy Corneau. Attention, cette chronique risque de vous paraître « étrange ». « Well, I try my bestTo be just like ...

Le court texte qui présente ce livre en quatrième de couverture est une merveille de concision et de rigueur. L'auteure actrice burkinabé est aussi chroniqueuse pour France Inter. Comme je n'ai vu nulle pa...